(sa petite bouche rit)

L’infante est une enfant bien née, mais née puînée
On va la marier, et ce fiancé est dauphin et français paraît-il
Alors les Ménines qui se croient tout permis se moquent : Épouser un poisson ? Il faut savoir nager
.Les petites, les Ménines elles, s’en foutent
Quand elles auront grandi c’est avec les grands d’Espagne qu’elles feront des petits. L’infante se démène et se mine,
flipper pour un dauphin, c’est grave.
Et toujours les mêmes doutes, faut-il savoir nager ?
Marie Thérèse se fait belle, un peintre est au palais qui peindra la famille,
ça fait des souvenirs, et puis ç’est joli sur les murs du Prado.
Elle aime bien ses cheveux, mais pas son menton qu’elle trouve un peu trop grand,
Elle aimerait tant, que le peintre, ce Velázquez, en gomme un petit peu.

Les Duègnes, ces vieilles pies, lui disent que c’est comme ça, que c’est dans le sang,
Que dans la famille on est poli et fier, pas forcément joli.
Elle est mignonne pourtant quand elle ne fait pas la moue
Mais ce n’est pas un canon, ( sauf quand l’infante rit ).

La fiancée du dauphin un thon ? Si ça se sait en France le mariage est à l’eau.

Une réponse sur « Infantes et ménines »

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